Contre vents et marées,
Avancer sans reculer,
Marcher entre rochers et galets,
Afin de ne pas glisser.
Si toutefois l’on trébuche,
Il faut vite se relever, éviter de nouveau la chute.
Espérant de n’être pas trop mouillé !
Se redresser, ne pas jurer, ni rouspéter !
La mer est quelque peu en colère,
Elle rugit, menace, mais j’aime cette mer !
Certains embruns viennent se fracasser,
D’autres vont y échapper !
D’autres encore feront une danse à nos pieds,
Des petits embruns viendront se claquer !
Sur nos jambes, quelquefois sur le visage,
Pourquoi, n’avons nous pas été sages ?
Les mouettes nous survolent,
Ne cessent de piailler et de ricaner !
De temps en temps, elles se posent,
Le temps d’un très bref instant.
Puis repartent de plus belle,
A tire-d’aîles !!
La tête haute, sans crainte,
Elles, voyagent sans prendre de train.
Reg !! écrit le 5 mars à 9h10